FOR A SAFE AND REASONED

practise of surfing

with the quality charter Eco-Safe Surfing

Why ECO-SAFE ?

  • ECO AS IN ECOLOGY : sensitization to the environment through the practise of an activity in touch with nature and providing feedback to local authorities in order to support their quality and safety processes of their beaches. Willingness to follow up on technological advancements aiming to improve surf equipment in order to make them more environmentally friendly.
  • ECO AS IN ECONOMY : saving in human resources and material in order to have a minimum impact on the environment, both natural and human.
  • ECO IS SOLIDARY VISION of the surf economy, anchored in a healthy and diversified local economy.
  • ECO TO MINIMIZE THE TRADE-OFF BETWEEN QUANTITY AND QUALITY : eco-tourism is tomorrow’s tourism. Time of mass tourism, lovers of concrete and human tide is over. Nature and wellness are two essential ingredients that motivate this new tourism.
  • ECO AS IN ECHO, to change the preconceived ideas about surfing, sport known to be individualist and federate innovative idea and interests of the profession around social responsibility actions.
  • SAFE AS IN SECURITY in the surf practice, through prevention and research of technologic innovations; and in the safe surrounding, through the preservation of the environment.

WHY JOIN US?

ECO-SAFE Surfing Association proposes
to its surf school members :

  • A QUALITY CHARTER
    …pour défendre un enseignement exigeant, sûr et respectueux de l’environnement.
  • AN ACCESS TO THE LOCAL AUTHORITIES
    …to discuss common challenges in a reasoned usage of the beach,
  • AN INFORMATION PLATFORM, FOR DIALOGUE, CONSTRUCTIVE THINKING,
    …in order to improve the quality and security of the surf practice and take into account the environmental dimension.
SURF SCHOOLS ARE THE FIRST WITNESSES, day after day, of the phenomena that are taking place on the coast line linked to human impact, erosion, challenges due to security in an aquatic environment.
Unfair competition, price of a surf course at the same price than the pizza with an underqualified teacher, a two-speed regulation… from this also depend the survival of a profession, but most of all, the quality of surf teaching in France.

FROM SPECTATOR OF YOUR FUTURE,
BECOME ACTOR AND JOIN US !

The quality CHARTER

SECURITY

  • PROFESSIONAL CARD issued by the DDCSPP (La Direction Départementale de la Cohésion Sociale et de la Protection des Populations).

    QUALIFYING DIPLOMAS, AND ACKNOWLEDGMENT STATE CERTIFICATE OR PROFESSIONAL CERTIFICATE (one year of training) are superior to the European ISA certificate (one week of training).

    EXPERIENCE : seniority of the teacher or of the structure is a seal of quality as experience is a learning value

    FIRST AID TRAINING CERTIFICATE UP TO DATE (with a refresher once a year)

    MATERIAL TO ENSURE SAFETY :first aid kit / intervention equipment (fin or surfboard) / mean to alert (telephone) / list of first aid organisation (SAMU, firemen, police, lifeguard posts) / Intervention protocol sheets.

    QUALITY PEDAGOGIC TOOLS: foam boards, leashes, wetsuits, rash guards.

    PEDAGOGIC MESSAGING BASED ON RISKS PREVENTION: adapted guidance to weather conditions and to the level of the participants (surf zone, management of security distance, current, risks of choc between the boards, security protocol to manage its own board a leash, etc.).

  • CHOICE OF LOCATION AND TIME OF THE SESSION: the beach and the sand bank should be adapted to the security of the students according to their level and taking into account the weather conditions (shape of the sand bank, wind and swell, tide) and human conditions (management of the swimming zone and other surf school or simple users).

    AWARENESS OF THE BOUNDARIES NOT TO TRESPASS, mainly from an environmental nature: dangers linked to the thunder, waves and / or wind, creating conditions which are too hostiles to maintain an adequate level of security (e.g.: storm, tide too high or too low), exceptional events (pollution, natural disasters, etc.), red flag to be taken into account.

    A SPONTANEOUS ROTATION PROTOCOL BETWEEN SURF TEACHERS when the location is saturated with surf students: regroup on the shore for pedagogic debriefing allowing other groups to rotate in the water by slot of 10 min. A good management of the students drifting also prevent the aggravation of the overpopulation (two strategies depending of the current strength: maintaining strict position in front of the point of reference when the current is weak / group recover, and when the current is strong, Group A let Group B drift to go use the vacant zone).

    A REASONABLE NUMBER OF STUDENT PER GROUP AND TEACHERS BY SURF SCHOOL: maximum 8 students per teacher (compulsory).

THE PEDAGOGIC APPROACH

DIPLOMA, seniority and experience as pre-requirement of this qualification.

ADAPTATION TO CONDITIONS AND THE LEVEL of the students: guidance adapted to each individual.

DOUBLE OBJECTIVE: manage the field + technically improve.

REACHED OBJECTIVE: ease and autonomy.

BASIC OBJECTIVE: the student is not a danger for himself or for others.

VERTUOUS OBJECTIVE: an outdoor activity contributes to sensitize the public to environmental issue (respect of sand dunes stretch, explication of the beach ecosystem, the changing topography of the coastline and its fauna and flora).

You ADHERE?

BECOME MEMBER of the ECO-SAFE Surfing asociation
Annual fees : 60 €

Download the membership form

Do not hesitate to contact us,
where do we meet!

LES NEWS

  • Pizza Surf Pizza Surf School 31 July 2022 - Sorry, this entry is only available in French. For the sake of viewer convenience, the content is shown below in the alternative language. You may click the link to switch the active language.L'univers socio-professionnel du surf est entré en crise, en un glissement progressif qu'aucune volonté publique ou institutionnelle n'est venue freiner depuis une dizaine… …Lire l’article

    Sorry, this entry is only available in French. For the sake of viewer convenience, the content is shown below in the alternative language. You may click the link to switch the active language.

    L’univers socio-professionnel du surf est entré en crise, en un glissement progressif qu’aucune volonté publique ou institutionnelle n’est venue freiner depuis une dizaine d’années.

    Cette crise touche particulièrement 3 zones touristiques, berceaux historiques de la pratique du surf et de l’industrie du surfwear : Biarritz-Hossegor-Lacanau.

    Les sociologues ont observé que l’image surf était un formidable accélérateur de développement, on pense dernièrement à la vague de Nazaré qui est devenu un actif touristique pour la petite station balnéaire.

    Ainsi, des zones comme le BAB, Capbreton-Hossegor-Seignosse ou Lacanau sont des stations balnéaires qui reçoivent du monde au delà des deux mois d’été mais également des lieux de gentrification, des sites qui attirent de nouveaux résidents, séduits par le côté petite Californie.
    Tandis qu’il existe des pans entiers du littoral français qui sont encore vierges ou presque d’écoles de surf, ces zones qui sont à saturation de leur nombre de structures surf l’été depuis plus de dix ans, voient donc éclore chaque année de nouvelles écoles de surf. Cet empilement accroît évidemment la densité d’élèves de surf dans l’eau d’avril à octobre mais également précarise le métier.
    En effet, si le mois d’août permet encore de faire vivre la plupart des écoles de surf, cette concurrence exacerbée rend la vie des écoles de surf présentes historiquement sur ces territoires de plus en plus incertaine. En effet, les parts de marché se réduisent, spécialement en avant et après-saison où le volume de visiteurs est modéré à faible.

    Pour résumer la problématique en quelques mots : les écoles de surf peinent de plus en plus à embaucher des moniteurs qui, tout juste sortis de formation, se mettent aussitôt à leur compte sur le pas de porte des écoles qui étaient sensées les former, et qui les ont parfois exploités de manière éhontée.
    Quelques planches, combinaisons, un véhicule et c’est tout ce qu’il faut pour démarrer l’activité à son compte. De là à en vivre, c’est une autre affaire si la densité d’écoles de surf explose sur un terroir donné.

    Les mairies ont mis en place des procédures pour limiter le nombre d’écoles autorisées l’été sur chacun de ces territoires mais on constate que le nombre d’écoles autorisées n’a fait en réalité qu’augmenter tandis que les écoles historiques se voyaient contraintes parfois de réduire leur capacité. Saturation qui n’empêche pourtant pas de poursuivre encore ce modèle économique de l’expansion infinie, avec des écoles fraîchement créées qui marchent dans les pas de leur aînés et bombardent la plage d’autant de stagiaires qu’ils peuvent en prendre.
    Et c’est sans compter les écoles non autorisées qui bénéficient de plages libres d’accès, dites zones non réglementées. Les tours operators tels que Pure Surfcamp ou Wavetour, genres de Mac-Donalds du surf, implantés en Hollande, Allemagne ou Autriche et qui, parce qu’ils se privatisent des moitiés de campings et de villages vacance, se voient dérouler le tapis rouge. D’autres écoles italiennes, tchèques, belges ou espagnoles opèrent en toute discrétion sur ces zones non surveillées, sans que l’on sache si elles se conforment aux règles de sécurité auxquelles sont assujetties les écoles immatriculées en France.

    Ainsi, sur Capbreton-Hossegor-Seignosse, on doit au mois d’août dénombrer une bonne centaine de moniteurs de surf, qu’ils soient autorisés ou non par les mairies, qu’ils aient l’agrément de la jeunesse et sports ou non et je ne compte pas le prof de surf autoproclamé qui n’a aucun diplôme. Multiplié par 8 élèves, on a à l’eau au même moment parfois 800 élèves sur 6 kilomètres, puisque les zones de baïne sont impropres à la pratique du surf, en particulier pour des débutants.

    Comment reprocher à un jeune du coin de vouloir monter son école là où il a ses racines, comment en vouloir au Breton qui veut monter une école à Hossegor parce que l’eau y est plus chaude et la saison plus longue ? Malgré les tentatives de régulation, l’argument du « premier au spot » n’est pas juridiquement recevable ; même si cela met en péril certains socio-professionnels. Les plus anciens ont alors l’impression que l’on vient manger dans leur assiette et les pousser dans le caniveau.

    Le prochain pallier, j’en ai peur, pour vivre de cette activité et résister à la concurrence, ce seront des cours médiocres à faible coût et la pizza offerte au bout du dixième cours.

  • Ecoles de surf des Landes Les écoles de surf ont trouvé du pétrole ! 15 April 2022 - Sorry, this entry is only available in French. For the sake of viewer convenience, the content is shown below in the alternative language. You may click the link to switch the active language.La procédure choisie en 2021 pour sélectionner les écoles de surf des communes de Hossegor et Seignosse avait fait des vagues, pour des… …Lire l’article

    Sorry, this entry is only available in French. For the sake of viewer convenience, the content is shown below in the alternative language. You may click the link to switch the active language.

    La procédure choisie en 2021 pour sélectionner les écoles de surf des communes de Hossegor et Seignosse avait fait des vagues, pour des raisons que nous avons déjà expliquées.

    Pour rappel néanmoins, on avait fait miroiter aux écoles de surf de Seignosse qu’elles seraient consultées pour finalement leur asséner un gros coup de dossier sur la tête, assorti d’une taxe, genre de droit d’accès au travail, présentée un jour comme une participation au financement d’un beach marshall, le lendemain comme une place de parking privative sur un parking public gratuit.

    Comme toujours, les écoles de surf, actif territorial de premier plan, n’avaient pas été consultées. On ne s’étonnera donc pas qu’une procédure juridique ait été menée par le syndicat qui représente la profession, une manière de contester la légalité de certains éléments du dossier, à commencer par cette taxe autoproclamée.

    La mairie de Seignosse, après-coup donc, déclara vouloir échanger avec les écoles de son territoire. Elle sollicita les écoles de sa commune pour qu’elles élisent des représentants de 3 types d’écoles de surf présentes sur sa commune, selon cette classification : local commercial, concession, itinérant. Vinrent ensuite une réunion sans ordre du jour, un compte rendu quatre mois après, basé sur une conversation informelle et le renvoie des demandes des écoles de surf à l’horizon 2023.

    Par conséquent, on ne sait pas encore s’il s’agit d’une concertation de façade, dans laquelle on ferait semblant de consulter l’avis de la société civile, ou d’une concertation réelle dans laquelle on tiendra compte des remontées du terrain.

    De la difficulté de rétablir un climat de confiance mutuelle :

    D’un côté, mandatés par le SPS (syndicat), des courriers d’avocats qui remettent en cause la légalité du dispositif mis en place par la municipalité.
    De l’autre, le souvenir des promesses jamais tenues : « la taxe sera prolongée ou abandonnée en concertation avec les écoles de surf ». Concerter oui, mais sans considération. Encore un mot que l’on aura vidé de sa substance, de son signifiant.

    Comment interpréter donc ces nouvelles déclarations : la mairie dit vouloir s’en remettre à une décision de justice concernant une taxe qui est mal comprise et mal perçue par la profession dans sa grande majorité. Au risque de mettre en danger la procédure de sélection dans sa globalité. Pourquoi alors questionner les écoles de surf si c’est pour n’agréer à leurs demandes que sur des points de détails insignifiants ? Ce n’est certes pas la faute des écoles de surf, qui n’aspirent qu’à des relations apaisées avec leur mairie, si cette dernière a mis en place une procédure à la légalité douteuse.

    La municipalité a convié les professionnels à participer à l’élaboration de la procédure 2023, mais leur sera-t-il permis d’être entendus sur les éléments importants ou seulement sur des points de détails ? Seront-ils utilisés comme des actifs ou comme le faire-valoir de la future procédure ?

    Le maire précédent avait choisi la deuxième option : il avait créé une taxe impopulaire auprès des écoles de sa commune, tout en affirmant qu’elle était le souhait des professionnels, ce qui était un mensonge éhonté. Mensonge que le journal Sud-Ouest avait d’ailleurs relayé avec complaisance.

    Pour conclure, les écoles de surf ne comprennent pas bien cet entêtement à vouloir leur imposer une taxe, à se demander si elles ont découvert du pétrole. Combien de tergiversations, de la part de la mairie et des écoles, pour une activité économique saisonnière ; circonvolutions oh combien absurdes quand il eut été si facile de prendre des décisions de manière collégiale, avec à l’esprit la préservation de l’intérêt collectif.

    Eco-Safe Surfing continuera néanmoins de défendre le dialogue et la gouvernance partagée entre les socio-professionnels et les acteurs politiques et institutionnels. Une manière de réenchanter la démocratie.

  • Educateur et secouriste 3 April 2017 - Au début de la prise en charge d'un accident, les premiers gestes sont souvent déterminants. Tout le monde devrait connaître les bases du secourisme. Les moniteurs de surf mettent la prévention des risques en avant de leur action pédagogique, de sorte que les accidents sont somme toute assez rares dans la pratique encadrée du surf.… …Lire l’article

    Au début de la prise en charge d’un accident, les premiers gestes sont souvent déterminants. Tout le monde devrait connaître les bases du secourisme.

    Les moniteurs de surf mettent la prévention des risques en avant de leur action pédagogique, de sorte que les accidents sont somme toute assez rares dans la pratique encadrée du surf. Un élève se trouverait néanmoins en difficulté, ils sont formés pour lui porter assistance de manière adaptée et efficace : parfois, ils ont le BNSSA (brevet de nageur sauveteur), en outre, ils ont l’obligation de posséder le PSE1 ou le PSE2, qui sont des brevets de secourisme assez avancés. Une fois par an, une révision leur permet de se maintenir à jour des nouveaux protocoles et gestes qui sauvent.

    Voici quelques-uns des centres de formation au secourisme dans les Landes et le Pays-Basque :

    Sud-Ouest Secourisme Seignosse

    Seignosse Sauvetage Côtier

    Hossegor Sauvetage Côtier

    Capbreton Sauvetage Côtier

    Mimizan sauvetage Côtier

    Biscaboss 

    SNSM Centre de formation Côte Basque

    Les éducateurs de surf ont rarement besoin d’intervenir sur leurs propres élèves qui évoluent dans des conditions de sécurité optimale. Par contre, ils sont souvent amenés à porter secours à des baigneurs ou à les mettre en garde contre certains comportements dangereux. De manière tacite, ils viennent ainsi renforcer le dispositif de surveillance des sauveteurs mandatés par la municipalité.

    En dehors des zones et périodes de surveillance, ils constituent les seuls garants de la sécurité des plages, même si cela ne fait pas partie de leurs attributions.

  • Peut-on surfer éco-responsable ? 14 July 2017 - On déplore souvent qu'une activité de nature, telle que le surf, utilise des matériaux polluants : la résine époxy qui entre dans la composition des planches, les matériaux issus de l'industrie pétrochimique que l'on retrouve dans les néoprènes des combinaisons ou encore les leachs et autres produits, souvent fabriqués à l'autre bout du globe. Or,… …Lire l’article

    On déplore souvent qu’une activité de nature, telle que le surf, utilise des matériaux polluants : la résine époxy qui entre dans la composition des planches, les matériaux issus de l’industrie pétrochimique que l’on retrouve dans les néoprènes des combinaisons ou encore les leachs et autres produits, souvent fabriqués à l’autre bout du globe.

    Or, des initiatives poussent la recherche dans le sens d’un respect de l’environnement. Souvent, il s’agit d’un ou deux individus dans leur garage, d’autres fois d’entreprises disposant d’un budget recherche, mais on constate que mises ensemble, ces avancées technologiques poussent, lentement mais sûrement, l’ensemble de la filière glisse vers une utilisation de matériaux plus respectueux de l’environnement.

    La WAX

    Les surfeurs l’étalent sur la planche avant chaque session, la wax, elle fond sur nos banquettes et répand dans les flots ses résidus de matières toxiques : or, de petits entrepreneurs locaux tels que Simon et sa Sim Wax en cire d’abeille dans les Landes, ou encore la Greenfix, entreprise implantée à Anglet, proposent une wax 100 % bio !

    Le LEACH

    Un leach, ça casse, c’est du plastique qui va s’accumuler dans les décharges publiques. Ici, l’alternative qu’a trouvé l’entreprise Kun’Tiqi, basée en Espagne, c’est le recyclage. Elle propose un leach en nylon recyclé et en néoprène.
    Entreprise US, le leach Water Tribe utilise quant à lui des bouteilles plastiques recyclées dans sa conception.

    La COMBINAISON

    La combinaison protège le surfeur du froid, des irritations, des coups mais elle est loin d’être bio. Heureusement, là aussi, quelques initiatives intéressantes. Patagonia, une marque engagée dans le commerce équitable et la recherche en matériaux innovants, a créé une combinaison composée d’hévéa naturel à 100%, la Yulex.

    La PLANCHE

    Là encore, entre la résine époxy hautement volatile, dangereuse pour la santé du glaceur, la fibre de verre et la mousse en polyuréthane, la plupart des planches viennent créer du déchet 100% chimique.
    Pourtant, quelques concepteurs d’avant-garde recherchent des solutions pour introduire des éléments biologiques dans la composition des planches, telle l’entreprise Notox à Anglet, avec des planches en fibre de lin ou en liège avec la gamme Korko.

    Les DERIVES

    Encore une fois, le recyclage vient offrir une alternative intéressante : Five Ocean propose ainsi une dérive surf fabriquée à partir de capsules de bouteilles plastique, afin de valoriser les déchets.

    On n’est pas encore dans le 100% bio, sauf pour la wax, mais ce petit monde de créatifs pousse dans la bonne direction et inspire l’ensemble des acteurs de la filière glisse.

    Parce qu’il est possible de surfer éco-responsable, que les utilisateurs préfèrent acheter du matériel vertueux, les écoles Eco-Safe Surfing consomment éco-responsable et communiquent sur le sujet.

    Leachs recyclés, crèmes solaires bio, planches en liège, à chacun son petit geste pour encourager l’initiative des fournisseurs de matériel surf et influencer l’ensemble de la filière glisse.

    https://www.youtube.com/watch?v=r4Lv-5Bcnh0&t=5sOn déplore souvent qu’une activité de nature, telle que le surf, utilise des matériaux polluants : la résine époxy qui entre dans la composition des planches, les matériaux issus de l’industrie pétrochimique que l’on retrouve dans les néoprènes des combinaisons ou encore les leachs et autres produits, souvent fabriqués à l’autre bout du globe.

    Or, des initiatives poussent la recherche dans le sens d’un respect de l’environnement. Souvent, il s’agit d’un ou deux individus dans leur garage, d’autres fois d’entreprises disposant d’un budget recherche, mais on constate que mises ensemble, ces avancées technologiques poussent, lentement mais sûrement, l’ensemble de la filière glisse vers une utilisation de matériaux plus respectueux de l’environnement.

    La WAX

    Les surfeurs l’étalent sur la planche avant chaque session, la wax, elle fond sur nos banquettes et répand dans les flots ses résidus de matières toxiques : or, de petits entrepreneurs locaux tels que Simon et sa Sim Wax en cire d’abeille dans les Landes, ou encore la Greenfix, entreprise implantée à Anglet, proposent une wax 100 % bio !

    Le LEACH

    Un leach, ça casse, c’est du plastique qui va s’accumuler dans les décharges publiques. Ici, l’alternative qu’a trouvé l’entreprise Kun’Tiqi, basée en Espagne, c’est le recyclage. Elle propose un leach en nylon recyclé et en néoprène.
    Entreprise US, le leach Water Tribe utilise quant à lui des bouteilles plastiques recyclées dans sa conception.

    La COMBINAISON

    La combinaison protège le surfeur du froid, des irritations, des coups mais elle est loin d’être bio. Heureusement, là aussi, quelques initiatives intéressantes. Patagonia, une marque engagée dans le commerce équitable et la recherche en matériaux innovants, a créé une combinaison composée d’hévéa naturel à 100%, la Yulex.

    La PLANCHE

    Là encore, entre la résine époxy hautement volatile, dangereuse pour la santé du glaceur, la fibre de verre et la mousse en polyuréthane, la plupart des planches viennent créer du déchet 100% chimique.
    Pourtant, quelques concepteurs d’avant-garde recherchent des solutions pour introduire des éléments biologiques dans la composition des planches, telle l’entreprise Notox à Anglet, avec des planches en fibre de lin ou en liège avec la gamme Korko.

    Les DERIVES

    Encore une fois, le recyclage vient offrir une alternative intéressante : Five Ocean propose ainsi une dérive surf fabriquée à partir de capsules de bouteilles plastique, afin de valoriser les déchets.

    On n’est pas encore dans le 100% bio, sauf pour la wax, mais ce petit monde de créatifs pousse dans la bonne direction et inspire l’ensemble des acteurs de la filière glisse.

    Parce qu’il est possible de surfer éco-responsable, que les utilisateurs préfèrent acheter du matériel vertueux, les écoles Eco-Safe Surfing consomment éco-responsable et communiquent sur le sujet.

    Leachs recyclés, crèmes solaires bio, planches en liège, à chacun son petit geste pour encourager l’initiative des fournisseurs de matériel surf et influencer l’ensemble de la filière glisse.

CRÉDITS

CONCEPTION & RÉALISATION

Disthinktive Communication

HÉBERGEMENT

OVH

CRÉDITS PHOTOGRAPHIQUES

Photothèque Éric LAFARGUE.